Office de tourisme du Thouarsais

Situé au nord des Deux-Sèvres, au carrefour de la région Nouvelle-Aquitaine et du Val de Loire, le Thouarsais avec ses vignobles, son patrimoine bâti et naturel, séduit les amoureux de nature et de culture.

Vue aérienne de Thouars

Quels sont les incontournables du Thouarsais ?

Entre patrimoine historique, sites naturels exceptionnels et événements incontournables, ne manquez rien du Thouarsais !

Tout au long de l'année, nous vous invitons à explorer nos trésors à travers une multitude d'activités et de découvertes.

Mes coups de cœur en Thouarsais

Découvrez les communes du territoire

Pas de Jeu

Son nom remonte à l'occupation romaine de la région : Le passage des marais de la Dive était dangereux. Un autel païen, Passus Jovis, le Passage de Jupiter, y fut érigé. Le lieu en a gardé le nom, ecclesia de Joco (1300), Pas de Jeu (1596) Passus Jovis ou « passage de Jupiter », Depuis, la Dive, affluent du Thouet, a été canalisé La Dive est canalisée en aval de Pas-de-Jeu. Un chemin, autrefois de halage suit ses berges, permettant une promenade aisée en bord de rivière. Cette église a été construite à partir de 1874, en face de l’ancienne jugée trop petite et inutilisée depuis 1870. L’église ayant été construite sur un cimetière, son ossuaire a été disposé dans le carré du transept en 1877.

Consacrée le dimanche 28 avril 1878, elle a pour saint patron Saint-Hilaire. La barque posée dans le port de Saint-Laon à Pas-de-Jeu apparaît comme emblématique. Trouvée près du port, dans les ronces, au début des années 90, par un habitant de Saint-Laon, elle pèse une tonne et mesure 9,5 m de longueur, 1,90 m de largeur et 0,90 m dans sa plus grande hauteur. Elle est majoritairement construite en métal. Quelques éléments en bois sont également présents. L’embarcation était un bateau permettant le faucardement des herbes du canal et de ses berges. C’est le seul exemplaire connu dans l’Ouest de la France. Elle a pu être remise sur l’ancien port en 1994.

Photo de Pas de Jeu

St Jean de Thouars

Commune résidentielle nichée autour de son ancienne abbaye, Saint-Jean s’étend dans les méandres du Thouet au pied de la citadelle thouarsaise sur une superficie de 496 ha. Jusqu’en 1910, elle portait le nom de Saint-Jean de Bonneval.

La première mention attestée de Saint-Jean date de 973. Elle émane d’une charte du Roi Lothaire attestant de la fondation d’un ensemble religieux de l’ordre de Saint-Benoît qui va devenir le coeur de la localité, l’abbaye Saint-Jean de Bonneval.

Après avoir acquis une grande puissance au cours des ans, notamment au cours du XVIIe siècle, l’abbaye connaît un déclin, est vendue en bien national à la Révolution et finalement rasée.

La population Saint Jeantaise qui s’élevait à 606 habitants en 1968 s’est rapidement développée au cours des années 1970 pour atteindre 1342 habitants au dernier recensement.

Photo de St Jean de Thouars

Pierrefitte

Pierrefitte, en latin Petra ficta, est « la pierre fichée dans le sol », c'est-à-dire le dolmen. Les sites mégalithiques des Deux-Sèvres sont nombreux, nomtamment en Thouarsais. Ils correspondent à un mégalithisme funéraire marqué par plusieurs nécropoles dolméniques et de grands tumulus. Il existe en France une douzaine de communes de ce nom. Il y avait jadis à Pierrefite un dolmen dressé non loin de l'église. Si les vitraux de nos églises rurales du Poitou sont le plus souvent du 19e siècle, la majorité des vitraux de l'église de Pierrefitte, œuvres de Lux Fournier et fils, de Tours, sont datés de 1947. À quelque distance se dresse une chapelle en rectangle avec une baie gothique à l'est ; elle a été fondée après 1391, par testament de Perceval de Couloigne, sénéchal du Poitou en 1374-1375.

Photo de Pierrefitte

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